GUN a construit l’un des albums de rock les plus importants de l’année en 1968 quand ils ont trouvé une conjonction précoce de différents styles de rock qui se sont développés après le statu quo de la première partie de la décennie. Après avoir créé un album Angsty qui était égal à un mélange de heavy metal précoce, de rock progressif et de psychédélisme avec d’excellentes pistes recouvertes d’orchestration, GUN a étonnamment généré un succès britannique dans le top dix avec sa chanson « Race With The Devil », un exploit qu’il ne répétera plus jamais et bien que leur premier album éponyme n’ait pas réussi à devenir un succès commercial qui avait un single principal, Le groupe était le thème principal du célèbre UFO club de Londres, qui s’est produit avec des groupes tels que Pink Floyd, Tomorrow et The Crazy World Of Arthur Brown. Bien qu’il ait fait un excellent premier album, il est pour la plupart passé inaperçu, mais a trouvé suffisamment d’intérêt pour que CBS Records soit prêt à jouer avec l’album de deuxième année.
GUNSIGHT est sorti en 1969, un an après ses débuts, et a constaté que le groupe avait un peu changé sa formule.
Toujours un power trio avec le même casting exact de Paul (chant, basse, arrangements) et Adrian Curtis (guitare) Nea Gurvitz et Louis Farrell à la batterie, le groupe a sorti dix autres chansons, mais malheureusement avec une production principalement dépouillée et un matériel moins convaincant, GUNSIGHT était un grand pas vers la qualité. Il s’aiguise immédiatement à partir de la première chanson « Head In The Clouds », qui tente d’imiter le style sur « Race With The Devil » avec une guitare trépidante et une grande grandiloquence basse et batterie, mais le style d’écriture de chansons est devenu sensiblement générique. Ce mojo magique invisible qui a fait ses débuts si brillamment a simplement décollé pour ne jamais revenir.
Au fur et à mesure que l’album se poursuit, il montre une approche blues plus simple de « Drown Yourself In The River » et une touche de saccharine avec « Angeline », une ballade lente qui a une fois de plus trouvé des touches symphoniques dans le mix.
Celui-ci semble avoir pu être sur le premier album de Led Zeppelin, sauf qu’il n’a aucune conviction jusqu’à ce que la fin trouve certaines des touches les plus prometteuses tandis que l’arrière-plan symphonique mène la mélodie, tandis que le riff de guitare backmasking fournit une touche expérimentale cool, mais le segment complètement instrumental est assez court. « Dreams And Screams » sonne probablement le plus probable des débuts avec du groove de basse et de batterie et des parties de guitare bluesy stellaires. C’est de loin la chanson la plus bruyante et la plus agressive sur laquelle le jeu de batterie de Farrell équivaut à la forme précoce de blastbeats tout en abusant constamment de ses percussions. Et un beau chanteur. L’une des meilleures chansons à bord.
« Situation Vacant » est une autre chanson sur laquelle Hawkwind trouvera une inspiration future parce qu’il a clairement donné le plan de leur « Sea of Holes » sur « Warrior On The Edge Of Time ».
En fait, hawkwind a adopté de nombreux aspects des deux albums de GUN qui les ont perfectionnés, mais il ne fait aucun doute que le groove répétitif hypnotique est ici avec beaucoup de bonheur psychédélique volant autour des graines de ce qui allait devenir le son signature de Hawkwind. « Hobo » saute dans le style sonore country rock Grateful Dead avec des lecteurs de type bluegrass et beaucoup de guitare slide. On dirait un groupe complètement différent. Même les voix ressemblent plus à Crosby, Stills et Nash qu’à d’autres chansons de GUN.
« Lady Link Part One » est une instrumentale presque minute qui trouve Adrian exécutant une guitare flamenco brillante.
Bien que musicalement maladroite et sans rapport, cette courte chanson n’est qu’un prélude à « Oh Lady You » qui est une ballade plutôt collante au début, mais commence à s’accrocher en fusionnant dans une introduction avec des guitares flamenco. Probablement l’une des pires période de chansons GUN que la chanson tire sur et ne va jamais vraiment n’importe où. Ensuite, il y a une autre outro instrumentale presque minute « Lady Link Part Two » qui est une autre chanson de guitare flamenco. Ironiquement, les deux livres instrumentaux sont assez énergiques tandis que la piste du milieu lollygags dans l’ennui. Ils auraient dû pimenter un peu et cela aurait été beaucoup mieux. Le plus proche « Long Haired Wildman » est une bien meilleure chanson parce qu’il fournit un peu de rock lourd saupoudrer, un joli crochet mélodique avec une guitare bluesy, mais encore une fois, il manque ce bord supplémentaire qui a fait les débuts si spécial.
Bien que GUNSIGHT ne soit en aucun cas un mauvais album, c’est une grande déception après un excellent début.
Bien que les chansons ici soient décentes et passables, l’album n’a pas le même flux et rien sur celui-ci n’est meilleur qu’un début. Littéralement, tout est un pas en arrière par rapport aux débuts, y compris une couverture d’album terrible, mais tout est une fois de plus comparé à un grand début. Il m’est venu à l’esprit que GUNSIGHT ressemblait à un album moins développé qui était censé précéder ses débuts. Bien que les débuts étaient en avance sur son temps, GUNSIGHT sonne comme il a stagné et se sent obsolète surtout compte tenu du saut dans la puissance musicale de 68 à 69 chronologies. Cette année a fait une différence dans l’histoire de la musique. Ce serait la fin de la route pour GUN. Le deuxième album a été un grand raté et le groupe a été expulsé de leur label. Les frères Curits (Gurvitz) continueraient dans le groupe Three Man Army sans Louis Farrell et le groupe présenterait divers batteurs.
Les frères ont également travaillé sur des projets avec le batteur de Cream Ginger Baker et le batteur Graeme Edge de moody blues, mais en ce qui concerne le projet GUN, c’était la fin de la ligne et si cette baisse de qualité est un signe des choses à venir, ce qui est vraiment sage
décision. Comme un pistolet tiré dans une boîte de nuit bondée, GUN a eu son éclair rapide de notoriété, mais aussi vite qu’un coup de feu a été tiré, de sorte qu’il perd son élan quand il frappe. Malgré ce son de suivi de deuxième année plutôt générique, GUN est devenu plus reconnu comme l’un des premiers innovateurs de la fusion de l’intersection du proto-métal précoce avec des éléments de rock psychédélique et progressif. Bien qu’il ait essayé de s’intégrer dans un ensemble sonore plus standard de chansons sur GUNSIGHT, le groupe n’a tout simplement pas pu briser l’élan de tous les artistes obtenant plus de soutien de la part des maisons de disques. C’est vraiment dommage parce que GUN avait autant de potentiel que le meilleur d’entre eux. Un autre cas d’occasions manquées. Au moins, nous avons eu un album stellaire de ces gars-là sous la forme de leurs débuts innovants du même nom.
GUN constructed one of the most prominent rock albums of the year in 1968 when they found an early conjunct of different styles of rock that developed after the status quo of the earlier part of the decade. After creating an Angsty album that was equal to a blend of early heavy metal, progressive rock and psychedelia with excellent orchestration-coated tracks, GUN surprisingly generated a British top ten hit with his song "Race With The Devil," a feat he will never repeat again and although their self-titled debut album failed to become a commercial hit that had a lead single, The band was the main theme of the famous UFO club in London, which performed with bands such as Pink Floyd, Tomorrow and The Crazy World Of Arthur Brown. Despite making a great debut album, it mostly went unnoticed, but found enough interest that CBS Records is willing to gamble with the second-year album.
GUNSIGHT came out in 1969, a year after its debut, and found that the band had changed its formula a little.
Still a power trio with the same exact cast of Paul (vocals, bass, arrangements) and Adrian Curtis (guitar) Nea Gurvitz and Louis Farrell on drums, the band released ten more songs, but unfortunately with mostly stripped-down production and less compelling material, GUNSIGHT was a big step toward quality. It immediately sharpens from the first song "Head In The Clouds", which tries to imitate the style on "Race With The Devil" with a hectic guitar strung and a large bass and drum bombast, but the style of songwriting has become noticeably generic. That invisible magic mojo who made his debut work so brilliantly simply took off never to return.
As the album continues, it shows a simpler blues approach to "Drown Yourself In The River" and a touch of saccharine with "Angeline," a slow ballad that once again found symphonic touches in the mix.
This one sounds like it could have been on Led Zeppelin's debut album, except it doesn't have any conviction until the end finds some of the most promising touches while the symphonic background leads the tune, while backmasking guitar riff provides a cool experimental touch, but the completely instrumental segment is pretty short. "Dreams And Screams" probably sounds the likeliest of debuts with pummeling bass and drum groove and stellar bluesy guitar parts. This is by far the noisiest and most aggressive song on which Farrell's drum playing is tantamount to the early form of blastbeats while constantly abusing his percussion. And a nice vocalist. One of the better songs on board.
"Situation Vacant" is another song on which Hawkwind will find future inspiration because he clearly gave the blueprint for their "Sea of Holes" on "Warrior On The Edge Of Time."
In fact, hawkwind has adopted many aspects of GUN's two albums that have perfected them, but there's no doubt that the hypnotic repeating groove is here with a lot of psychedelic bliss flying around the seeds of what would become Hawkwind's signature sound. "Hobo" jumps into the Grateful Dead country rock sound style with bluegrass-type drives and plenty of slide guitar. Sounds like a completely different band. Even the vocals sound more like Crosby, Stills and Nash than other GUN songs.
"Lady Link Part One" is a nearly minute instrumental that finds Adrian performing a brilliant flamenco guitar.
Although musically awkward and unrelated, this short song is just a prelude to "Oh Lady You" which is a rather tacky ballad at first, but begins to catch on by merging into an introduction with flamenco guitars. Probably one of the worst GUN songs period as the song pulls on and never really goes anywhere. Next up is another nearly minute instrumental outro "Lady Link Part Two" which is another flamenco guitar song. Ironically, the two instrumental books are quite energetic while the very middle track lollygags in tedium. They should have spiced it up a little bit and it would have been a lot better. The closer "Long Haired Wildman" is a much better song because it provides some heavy rock sprinkle, a nice melodic hook with a bluesy guitar, but once again it lacks that extra edge that made the debut so special.
While GUNSIGHT is by no means a bad album, it's a big disappointment after a great debut.
Although the songs here are decent and passable, the album doesn't have the same flow and nothing on this one is better than a debut. Literally everything is a step down from the debut, including a terrible album cover, but it's all once again compared to a great debut. It occurred to me that GUNSIGHT sounded like a less developed album that was supposed to precede its debut. Although the debut was ahead of its time, GUNSIGHT sounds like it has stagnated and feels outdated especially given the jump in musical power from 68 to 69 timelines. That one year made a difference in the history of music. This would be the end of the road for GUN. The second album was a big miss and the band was kicked out of their label. The Curits brothers (Gurvitz) would continue in the band Three Man Army without Louis Farrell and the band would introduce various drummers.
The brothers also worked on projects with Cream drummer Ginger Baker and drummer Graeme Edge of moody blues, but as far as project GUN is concerned, this was the end of the line and if this drop in quality is a sign of things to come, which is really wise
decision. Like a gun fired in a crowded nightclub, GUN had its quick flash of notoriety, but as fast as a shot was fired, so he loses his momentum when he strikes. Despite this rather generic second-year tracking sound GUN has become more recognized as one of the early innovators of merging the intersection of early proto-metal with elements of psychedelic and progressive rock. Despite trying to fit into a more standard sound set of songs on GUNSIGHT, the band simply couldn't break the momentum of all the artists getting more support from record labels. It's a real shame because GUN had as much potential as the best of them. Another case of lost opportunities. At least we got one stellar album from these guys in the form of their innovative debut of the same name.
GUN je konstruirao jedan od najistaknutijih rock albuma godine 1968. godine kada su pronašli rani konjunct različitih stilova rocka koji su se razvijali nakon statusa quo ranijeg dijela desetljeća. Nakon što je izradio angsty album koji je bio jednak spoj ranog heavy metala, progresivnog rocka i psihodelije s odličnim skladbama koje su bile obložene orkestracijama, GUN je iznenađujuće generirao britanski top deset hit sa svojom pjesmom "Race With The Devil", podvig koji više nikada neće ponoviti i iako njihov samozvani debitantski album nije uspio postati komercijalni hit koji je imao vodeći singl, bend je bio glavna tema poznatog NLO kluba u Londonu koji je nastupao s bendovima kao što su Pink Floyd, Tomorrow i The Crazy World Of Arthur Brown. Unatoč tome što je napravio odličan debitantski album, uglavnom je prošao nezapaženo, ali je pronašao dovoljno interesa da je CBS Records spreman kockati se s albumom druge godine.
GUNSIGHT je izašao 1969., godinu dana nakon debija i otkrio da je bend malo promijenio formulu.
Još uvijek power trio s istom točnom postavom Paula (vokal, bas, aranžmani) i Adriana Curtisa (gitara) Nee Gurvitza i Louisa Farrella na bubnjevima, bend je izbacio još deset pjesama, ali nažalost s uglavnom ogoljenom produkcijom i manje uvjerljivim materijalom, GUNSIGHT je bio veliki korak prema kvaliteti. Odmah se zaoštrava od prve pjesme "Head In The Clouds", koja pokušava imitirati stil na "Race With The Devil" s užurbanom gitarom nanizanom i velikim basom i bubnjem bombastom, ali stil pisanja pjesama postao je primjetno generički. Taj nevidljivi čarobni mojo koji je napravio debitantski rad tako briljantno jednostavno je uzletio da se nikada ne vrati.
Kako se album nastavlja, prikazuje jednostavniji blues pristup "Drown Yourself In The River" i dašak saharina s "Angeline", sporom baladom koja je još jednom pronašla simfonijske dodire u miksu.
Ovaj zvuči kao da je mogao biti na debitantskom albumu Led Zeppelina, osim što nema nikakvog uvjerenja dok kraj ne pronađe neke od najperspektivnijih dodira dok simfonijska pozadina vodi melodiju, dok backmasking gitarskog riffa pruža cool eksperimentalni dodir, no potpuno instrumentalni segment je prilično kratak. "Dreams And Screams" vjerojatno zvuči najsličnije debiju s pummeling bas i drum grooveom te zvjezdanim bluesy gitarskim dijelovima. Ovo je daleko najbučnija i najagresivnija pjesma na kojoj je Farrellovo sviranje bubnjeva ravno ranom obliku blastbeatsa dok neprestano zloupotrebljava svoje udaraljke. I lijep vokal. Jedna od boljih pjesama na brodu.
"Situation Vacant" je još jedna pjesma na kojoj će Hawkwind pronaći buduću inspiraciju jer je jasno dao nacrt za njihov "More rupa" na "Warrior On The Edge Of Time".
Zapravo, hawkwind je usvojio mnoge aspekte GUN-ova dva albuma koji su ih usavršili, ali nema sumnje da je hipnotički ponavljajući groove ovdje s puno psihodeličnog blaženstva koje leti okolo sjeme onoga što bi postalo Hawkwindov potpisni zvuk. "Hobo" uskače u Grateful Dead zvučni stil country rocka s bluegrass tipom pogona i obiljem slide gitare. Zvuči kao potpuno drugačiji bend. Čak i vokali zvuče više kao Crosby, Stills i Nash nego druge GUN pjesme.
"Lady Link Part One" je gotovo minutni instrumental koji pronalazi Adriana kako izvodi sjajnu flamenco gitaru.
Iako glazbeno neugodna i nepovezana, ova kratka pjesma samo je uvod za pjesmu "Oh Lady You" koja je u početku prilično neukusna balada, ali se počinje hvatati spajanjem na uvod s flamenco gitarama. Vjerojatno jedan od najgorih GUN pjesama razdoblje kao pjesma vuče na i nikada zapravo ne ide nigdje. Slijedi još jedan gotovo minutni instrumentalni outro "Lady Link Part Two" koji je još jedna flamenco gitarska pjesma. Ironično, dvije instrumentalne knjige su prilično energične dok sama srednja staza lollygags u tedium. Trebali su to malo začiniti i bilo bi puno bolje. Bliži "Long Haired Wildman" puno je bolja pjesma jer pruža neku tešku rock posust, lijepu melodijsku kuku s bluesy gitarom, ali još jednom nedostaje taj dodatni rub koji je debi učinio tako posebnim.
Iako GUNSIGHT nipošto nije loš album, veliko je razočaranje nakon odličnog debija.
Iako su pjesme ovdje pristojne i prohodne, album nema isti protok i ništa na ovom nije bolje od debija. Doslovno je sve korak niže od debija, uključujući i strašnu naslovnicu albuma, no sve je to još jednom u usporedbi s odličnim prvijencem. Palo mi je na pamet da GUNSIGHT zvuči kao manje razvijen album koji je trebao prethoditi debiju. Iako je prvijenac bio ispred svog vremena, GUNSIGHT zvuči kao da je stagnirao i osjeća se zastarjelo posebno s obzirom na skok glazbene snage sa 68 na 69 vremensku crtu. Ta jedna godina je napravila razliku u povijesti glazbe. Ovo bi bio kraj puta za GUN. Drugi album bio je veliki promašaj i sastav je izbačen iz svoje izdavačke kuće. Braća Curits (Gurvitz) nastavila bi u bendu Three Man Army bez Louisa Farrella i taj bi bend predstavio razne bubnjare.
Braća su također radila na projektima s bubnjarom Creama Ginger Bakerom i bubnjarom Graemeom Edgeom iz Moody Bluesa, ali što se projekta GUN tiče, ovo je bio kraj linije i ako je ovaj pad u kvaliteti znak stvari koje dolaze, što je doista mudra
odluka. Poput pištolja ispaljenog u prepunom noćnom klubu, GUN je imao svoj brzi bljesak ozloglašenosti, ali jednako brzo kao što je ispaljen metak, tako i on gubi svoj zamah kada udari. Unatoč ovom prilično generičkom zvuku druge godine praćenja GUN je postao više prepoznat kao jedan od ranih inovatora spajanje raskrižja ranog proto-metala s elementima psihodeličnog i progresivnog rocka. Unatoč pokušaju da se uklopi u standardniji zvučni set pjesama na GUNSIGHT-u, bend jednostavno nije mogao probiti zamah svih umjetnika koji su dobivali veću podršku diskografskih kuća. Prava sramota jer je GUN imao potencijala kao i najbolji od njih. Još jedan slučaj izgubljenih prilika. Barem smo dobili jedan zvjezdani album od ovih momaka u obliku njihovog inovativnog istoimenog debija.
GUN a construit l’un des albums de rock les plus importants de l’année en 1968 quand ils ont trouvé une conjonction précoce de différents styles de rock qui se sont développés après le statu quo de la première partie de la décennie. Après avoir créé un album Angsty qui était égal à un mélange de heavy metal précoce, de rock progressif et de psychédélisme avec d’excellentes pistes recouvertes d’orchestration, GUN a étonnamment généré un succès britannique dans le top dix avec sa chanson « Race With The Devil », un exploit qu’il ne répétera plus jamais et bien que leur premier album éponyme n’ait pas réussi à devenir un succès commercial qui avait un single principal, Le groupe était le thème principal du célèbre UFO club de Londres, qui s’est produit avec des groupes tels que Pink Floyd, Tomorrow et The Crazy World Of Arthur Brown. Bien qu’il ait fait un excellent premier album, il est pour la plupart passé inaperçu, mais a trouvé suffisamment d’intérêt pour que CBS Records soit prêt à jouer avec l’album de deuxième année.
0 likesGUNSIGHT est sorti en 1969, un an après ses débuts, et a constaté que le groupe avait un peu changé sa formule.
Toujours un power trio avec le même casting exact de Paul (chant, basse, arrangements) et Adrian Curtis (guitare) Nea Gurvitz et Louis Farrell à la batterie, le groupe a sorti dix autres chansons, mais malheureusement avec une production principalement dépouillée et un matériel moins convaincant, GUNSIGHT était un grand pas vers la qualité. Il s’aiguise immédiatement à partir de la première chanson « Head In The Clouds », qui tente d’imiter le style sur « Race With The Devil » avec une guitare trépidante et une grande grandiloquence basse et batterie, mais le style d’écriture de chansons est devenu sensiblement générique. Ce mojo magique invisible qui a fait ses débuts si brillamment a simplement décollé pour ne jamais revenir.
Au fur et à mesure que l’album se poursuit, il montre une approche blues plus simple de « Drown Yourself In The River » et une touche de saccharine avec « Angeline », une ballade lente qui a une fois de plus trouvé des touches symphoniques dans le mix.
Celui-ci semble avoir pu être sur le premier album de Led Zeppelin, sauf qu’il n’a aucune conviction jusqu’à ce que la fin trouve certaines des touches les plus prometteuses tandis que l’arrière-plan symphonique mène la mélodie, tandis que le riff de guitare backmasking fournit une touche expérimentale cool, mais le segment complètement instrumental est assez court. « Dreams And Screams » sonne probablement le plus probable des débuts avec du groove de basse et de batterie et des parties de guitare bluesy stellaires. C’est de loin la chanson la plus bruyante et la plus agressive sur laquelle le jeu de batterie de Farrell équivaut à la forme précoce de blastbeats tout en abusant constamment de ses percussions. Et un beau chanteur. L’une des meilleures chansons à bord.
« Situation Vacant » est une autre chanson sur laquelle Hawkwind trouvera une inspiration future parce qu’il a clairement donné le plan de leur « Sea of Holes » sur « Warrior On The Edge Of Time ».
En fait, hawkwind a adopté de nombreux aspects des deux albums de GUN qui les ont perfectionnés, mais il ne fait aucun doute que le groove répétitif hypnotique est ici avec beaucoup de bonheur psychédélique volant autour des graines de ce qui allait devenir le son signature de Hawkwind. « Hobo » saute dans le style sonore country rock Grateful Dead avec des lecteurs de type bluegrass et beaucoup de guitare slide. On dirait un groupe complètement différent. Même les voix ressemblent plus à Crosby, Stills et Nash qu’à d’autres chansons de GUN.
« Lady Link Part One » est une instrumentale presque minute qui trouve Adrian exécutant une guitare flamenco brillante.
Bien que musicalement maladroite et sans rapport, cette courte chanson n’est qu’un prélude à « Oh Lady You » qui est une ballade plutôt collante au début, mais commence à s’accrocher en fusionnant dans une introduction avec des guitares flamenco. Probablement l’une des pires période de chansons GUN que la chanson tire sur et ne va jamais vraiment n’importe où. Ensuite, il y a une autre outro instrumentale presque minute « Lady Link Part Two » qui est une autre chanson de guitare flamenco. Ironiquement, les deux livres instrumentaux sont assez énergiques tandis que la piste du milieu lollygags dans l’ennui. Ils auraient dû pimenter un peu et cela aurait été beaucoup mieux. Le plus proche « Long Haired Wildman » est une bien meilleure chanson parce qu’il fournit un peu de rock lourd saupoudrer, un joli crochet mélodique avec une guitare bluesy, mais encore une fois, il manque ce bord supplémentaire qui a fait les débuts si spécial.
Bien que GUNSIGHT ne soit en aucun cas un mauvais album, c’est une grande déception après un excellent début.
Bien que les chansons ici soient décentes et passables, l’album n’a pas le même flux et rien sur celui-ci n’est meilleur qu’un début. Littéralement, tout est un pas en arrière par rapport aux débuts, y compris une couverture d’album terrible, mais tout est une fois de plus comparé à un grand début. Il m’est venu à l’esprit que GUNSIGHT ressemblait à un album moins développé qui était censé précéder ses débuts. Bien que les débuts étaient en avance sur son temps, GUNSIGHT sonne comme il a stagné et se sent obsolète surtout compte tenu du saut dans la puissance musicale de 68 à 69 chronologies. Cette année a fait une différence dans l’histoire de la musique. Ce serait la fin de la route pour GUN. Le deuxième album a été un grand raté et le groupe a été expulsé de leur label. Les frères Curits (Gurvitz) continueraient dans le groupe Three Man Army sans Louis Farrell et le groupe présenterait divers batteurs.
Les frères ont également travaillé sur des projets avec le batteur de Cream Ginger Baker et le batteur Graeme Edge de moody blues, mais en ce qui concerne le projet GUN, c’était la fin de la ligne et si cette baisse de qualité est un signe des choses à venir, ce qui est vraiment sage
décision. Comme un pistolet tiré dans une boîte de nuit bondée, GUN a eu son éclair rapide de notoriété, mais aussi vite qu’un coup de feu a été tiré, de sorte qu’il perd son élan quand il frappe. Malgré ce son de suivi de deuxième année plutôt générique, GUN est devenu plus reconnu comme l’un des premiers innovateurs de la fusion de l’intersection du proto-métal précoce avec des éléments de rock psychédélique et progressif. Bien qu’il ait essayé de s’intégrer dans un ensemble sonore plus standard de chansons sur GUNSIGHT, le groupe n’a tout simplement pas pu briser l’élan de tous les artistes obtenant plus de soutien de la part des maisons de disques. C’est vraiment dommage parce que GUN avait autant de potentiel que le meilleur d’entre eux. Un autre cas d’occasions manquées. Au moins, nous avons eu un album stellaire de ces gars-là sous la forme de leurs débuts innovants du même nom.
GUN constructed one of the most prominent rock albums of the year in 1968 when they found an early conjunct of different styles of rock that developed after the status quo of the earlier part of the decade. After creating an Angsty album that was equal to a blend of early heavy metal, progressive rock and psychedelia with excellent orchestration-coated tracks, GUN surprisingly generated a British top ten hit with his song "Race With The Devil," a feat he will never repeat again and although their self-titled debut album failed to become a commercial hit that had a lead single, The band was the main theme of the famous UFO club in London, which performed with bands such as Pink Floyd, Tomorrow and The Crazy World Of Arthur Brown. Despite making a great debut album, it mostly went unnoticed, but found enough interest that CBS Records is willing to gamble with the second-year album.
0 likesGUNSIGHT came out in 1969, a year after its debut, and found that the band had changed its formula a little.
Still a power trio with the same exact cast of Paul (vocals, bass, arrangements) and Adrian Curtis (guitar) Nea Gurvitz and Louis Farrell on drums, the band released ten more songs, but unfortunately with mostly stripped-down production and less compelling material, GUNSIGHT was a big step toward quality. It immediately sharpens from the first song "Head In The Clouds", which tries to imitate the style on "Race With The Devil" with a hectic guitar strung and a large bass and drum bombast, but the style of songwriting has become noticeably generic. That invisible magic mojo who made his debut work so brilliantly simply took off never to return.
As the album continues, it shows a simpler blues approach to "Drown Yourself In The River" and a touch of saccharine with "Angeline," a slow ballad that once again found symphonic touches in the mix.
This one sounds like it could have been on Led Zeppelin's debut album, except it doesn't have any conviction until the end finds some of the most promising touches while the symphonic background leads the tune, while backmasking guitar riff provides a cool experimental touch, but the completely instrumental segment is pretty short. "Dreams And Screams" probably sounds the likeliest of debuts with pummeling bass and drum groove and stellar bluesy guitar parts. This is by far the noisiest and most aggressive song on which Farrell's drum playing is tantamount to the early form of blastbeats while constantly abusing his percussion. And a nice vocalist. One of the better songs on board.
"Situation Vacant" is another song on which Hawkwind will find future inspiration because he clearly gave the blueprint for their "Sea of Holes" on "Warrior On The Edge Of Time."
In fact, hawkwind has adopted many aspects of GUN's two albums that have perfected them, but there's no doubt that the hypnotic repeating groove is here with a lot of psychedelic bliss flying around the seeds of what would become Hawkwind's signature sound. "Hobo" jumps into the Grateful Dead country rock sound style with bluegrass-type drives and plenty of slide guitar. Sounds like a completely different band. Even the vocals sound more like Crosby, Stills and Nash than other GUN songs.
"Lady Link Part One" is a nearly minute instrumental that finds Adrian performing a brilliant flamenco guitar.
Although musically awkward and unrelated, this short song is just a prelude to "Oh Lady You" which is a rather tacky ballad at first, but begins to catch on by merging into an introduction with flamenco guitars. Probably one of the worst GUN songs period as the song pulls on and never really goes anywhere. Next up is another nearly minute instrumental outro "Lady Link Part Two" which is another flamenco guitar song. Ironically, the two instrumental books are quite energetic while the very middle track lollygags in tedium. They should have spiced it up a little bit and it would have been a lot better. The closer "Long Haired Wildman" is a much better song because it provides some heavy rock sprinkle, a nice melodic hook with a bluesy guitar, but once again it lacks that extra edge that made the debut so special.
While GUNSIGHT is by no means a bad album, it's a big disappointment after a great debut.
Although the songs here are decent and passable, the album doesn't have the same flow and nothing on this one is better than a debut. Literally everything is a step down from the debut, including a terrible album cover, but it's all once again compared to a great debut. It occurred to me that GUNSIGHT sounded like a less developed album that was supposed to precede its debut. Although the debut was ahead of its time, GUNSIGHT sounds like it has stagnated and feels outdated especially given the jump in musical power from 68 to 69 timelines. That one year made a difference in the history of music. This would be the end of the road for GUN. The second album was a big miss and the band was kicked out of their label. The Curits brothers (Gurvitz) would continue in the band Three Man Army without Louis Farrell and the band would introduce various drummers.
The brothers also worked on projects with Cream drummer Ginger Baker and drummer Graeme Edge of moody blues, but as far as project GUN is concerned, this was the end of the line and if this drop in quality is a sign of things to come, which is really wise
decision. Like a gun fired in a crowded nightclub, GUN had its quick flash of notoriety, but as fast as a shot was fired, so he loses his momentum when he strikes. Despite this rather generic second-year tracking sound GUN has become more recognized as one of the early innovators of merging the intersection of early proto-metal with elements of psychedelic and progressive rock. Despite trying to fit into a more standard sound set of songs on GUNSIGHT, the band simply couldn't break the momentum of all the artists getting more support from record labels. It's a real shame because GUN had as much potential as the best of them. Another case of lost opportunities. At least we got one stellar album from these guys in the form of their innovative debut of the same name.
GUN je konstruirao jedan od najistaknutijih rock albuma godine 1968. godine kada su pronašli rani konjunct različitih stilova rocka koji su se razvijali nakon statusa quo ranijeg dijela desetljeća. Nakon što je izradio angsty album koji je bio jednak spoj ranog heavy metala, progresivnog rocka i psihodelije s odličnim skladbama koje su bile obložene orkestracijama, GUN je iznenađujuće generirao britanski top deset hit sa svojom pjesmom "Race With The Devil", podvig koji više nikada neće ponoviti i iako njihov samozvani debitantski album nije uspio postati komercijalni hit koji je imao vodeći singl, bend je bio glavna tema poznatog NLO kluba u Londonu koji je nastupao s bendovima kao što su Pink Floyd, Tomorrow i The Crazy World Of Arthur Brown. Unatoč tome što je napravio odličan debitantski album, uglavnom je prošao nezapaženo, ali je pronašao dovoljno interesa da je CBS Records spreman kockati se s albumom druge godine.
0 likesGUNSIGHT je izašao 1969., godinu dana nakon debija i otkrio da je bend malo promijenio formulu.
Još uvijek power trio s istom točnom postavom Paula (vokal, bas, aranžmani) i Adriana Curtisa (gitara) Nee Gurvitza i Louisa Farrella na bubnjevima, bend je izbacio još deset pjesama, ali nažalost s uglavnom ogoljenom produkcijom i manje uvjerljivim materijalom, GUNSIGHT je bio veliki korak prema kvaliteti. Odmah se zaoštrava od prve pjesme "Head In The Clouds", koja pokušava imitirati stil na "Race With The Devil" s užurbanom gitarom nanizanom i velikim basom i bubnjem bombastom, ali stil pisanja pjesama postao je primjetno generički. Taj nevidljivi čarobni mojo koji je napravio debitantski rad tako briljantno jednostavno je uzletio da se nikada ne vrati.
Kako se album nastavlja, prikazuje jednostavniji blues pristup "Drown Yourself In The River" i dašak saharina s "Angeline", sporom baladom koja je još jednom pronašla simfonijske dodire u miksu.
Ovaj zvuči kao da je mogao biti na debitantskom albumu Led Zeppelina, osim što nema nikakvog uvjerenja dok kraj ne pronađe neke od najperspektivnijih dodira dok simfonijska pozadina vodi melodiju, dok backmasking gitarskog riffa pruža cool eksperimentalni dodir, no potpuno instrumentalni segment je prilično kratak. "Dreams And Screams" vjerojatno zvuči najsličnije debiju s pummeling bas i drum grooveom te zvjezdanim bluesy gitarskim dijelovima. Ovo je daleko najbučnija i najagresivnija pjesma na kojoj je Farrellovo sviranje bubnjeva ravno ranom obliku blastbeatsa dok neprestano zloupotrebljava svoje udaraljke. I lijep vokal. Jedna od boljih pjesama na brodu.
"Situation Vacant" je još jedna pjesma na kojoj će Hawkwind pronaći buduću inspiraciju jer je jasno dao nacrt za njihov "More rupa" na "Warrior On The Edge Of Time".
Zapravo, hawkwind je usvojio mnoge aspekte GUN-ova dva albuma koji su ih usavršili, ali nema sumnje da je hipnotički ponavljajući groove ovdje s puno psihodeličnog blaženstva koje leti okolo sjeme onoga što bi postalo Hawkwindov potpisni zvuk. "Hobo" uskače u Grateful Dead zvučni stil country rocka s bluegrass tipom pogona i obiljem slide gitare. Zvuči kao potpuno drugačiji bend. Čak i vokali zvuče više kao Crosby, Stills i Nash nego druge GUN pjesme.
"Lady Link Part One" je gotovo minutni instrumental koji pronalazi Adriana kako izvodi sjajnu flamenco gitaru.
Iako glazbeno neugodna i nepovezana, ova kratka pjesma samo je uvod za pjesmu "Oh Lady You" koja je u početku prilično neukusna balada, ali se počinje hvatati spajanjem na uvod s flamenco gitarama. Vjerojatno jedan od najgorih GUN pjesama razdoblje kao pjesma vuče na i nikada zapravo ne ide nigdje. Slijedi još jedan gotovo minutni instrumentalni outro "Lady Link Part Two" koji je još jedna flamenco gitarska pjesma. Ironično, dvije instrumentalne knjige su prilično energične dok sama srednja staza lollygags u tedium. Trebali su to malo začiniti i bilo bi puno bolje. Bliži "Long Haired Wildman" puno je bolja pjesma jer pruža neku tešku rock posust, lijepu melodijsku kuku s bluesy gitarom, ali još jednom nedostaje taj dodatni rub koji je debi učinio tako posebnim.
Iako GUNSIGHT nipošto nije loš album, veliko je razočaranje nakon odličnog debija.
Iako su pjesme ovdje pristojne i prohodne, album nema isti protok i ništa na ovom nije bolje od debija. Doslovno je sve korak niže od debija, uključujući i strašnu naslovnicu albuma, no sve je to još jednom u usporedbi s odličnim prvijencem. Palo mi je na pamet da GUNSIGHT zvuči kao manje razvijen album koji je trebao prethoditi debiju. Iako je prvijenac bio ispred svog vremena, GUNSIGHT zvuči kao da je stagnirao i osjeća se zastarjelo posebno s obzirom na skok glazbene snage sa 68 na 69 vremensku crtu. Ta jedna godina je napravila razliku u povijesti glazbe. Ovo bi bio kraj puta za GUN. Drugi album bio je veliki promašaj i sastav je izbačen iz svoje izdavačke kuće. Braća Curits (Gurvitz) nastavila bi u bendu Three Man Army bez Louisa Farrella i taj bi bend predstavio razne bubnjare.
Braća su također radila na projektima s bubnjarom Creama Ginger Bakerom i bubnjarom Graemeom Edgeom iz Moody Bluesa, ali što se projekta GUN tiče, ovo je bio kraj linije i ako je ovaj pad u kvaliteti znak stvari koje dolaze, što je doista mudra
odluka. Poput pištolja ispaljenog u prepunom noćnom klubu, GUN je imao svoj brzi bljesak ozloglašenosti, ali jednako brzo kao što je ispaljen metak, tako i on gubi svoj zamah kada udari. Unatoč ovom prilično generičkom zvuku druge godine praćenja GUN je postao više prepoznat kao jedan od ranih inovatora spajanje raskrižja ranog proto-metala s elementima psihodeličnog i progresivnog rocka. Unatoč pokušaju da se uklopi u standardniji zvučni set pjesama na GUNSIGHT-u, bend jednostavno nije mogao probiti zamah svih umjetnika koji su dobivali veću podršku diskografskih kuća. Prava sramota jer je GUN imao potencijala kao i najbolji od njih. Još jedan slučaj izgubljenih prilika. Barem smo dobili jedan zvjezdani album od ovih momaka u obliku njihovog inovativnog istoimenog debija.
very very well to all...................................................................
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